Mardi 28 Septembre 2010 Christopher Bollyn
Les tours jumelles étaient principalement des structures d’acier supportant des étages légers en béton.
Christopher Bollyn, 24 septembre 2010
Mon prochain article se focalisera sur le réseau dirigé par le Mossad derrière la destruction scélérate de l'acier du World Trade Center. J'ai découvert que la disparition de l'acier, une pièce à conviction cruciale de la scène de crime, a été organisée par le Mossad israélien et ses agents sionistes, les vrais coupables à l’origine du terrorisme sous fausse bannière qui a changé le monde.
Une organisation appelée Coalition for Accountability Now NYC (du NYC CAN, réseau de communauté de quartier de la ville de New York) en appelle au public pour qu’il exige que le procureur de district du comté de New York enquête et poursuive les responsables de la destruction des indices de la scène du crime. Voici leur lettre ouverte ou pétition du 23 juin 2010 au Bureau du procureur de district :
Cy Vance Jr, procureur de district du comté de New York
Thomas, chef de bureau, du Bureau des poursuites spéciales
Messieurs :
Au cours des trois dernières semaines, vous avez été informés de la preuve accablante que le bâtiment 7 du World Trade Center a été démoli à l'explosif. J'espère que vous comprenez les graves implications de ce crime et que vous êtes résolus à poursuivre les auteurs. Pour fournir un tremplin essentiel à votre enquête, je voudrais attirer votre attention sur la très documentée, et grandement contestée, destruction des pièces à convictions matérielles (l’acier) de la scène du crime, qui, je le soutiens, est passible de poursuites en vertu du Code pénal de New York, article 205.50 sur l’entrave aux poursuites.
« Quiconque fournit une aide criminelle... avec l'intention d'empêcher, d’entraver ou de retarder la découverte ou dans la crainte de... quelqu’un qu'il sait ou croit avoir commis un crime... supprime, par un acte de dissimulation, d'altération ou de destruction, toute preuve physique qui pourrait aider à la découverte... »
Je présenterai publiquement sous ma signature les informations disponibles sur la destruction des pièces à convictions matérielles du site du World Trade Center, dans quatre chapitres intitulés :
1. Constatation officielle de la destruction des indices physiques du WTC.
2. Contrôle du nettoyage du WTC.
3. Décision de détruire les indices matériels.
4. Poursuite de la destruction des indices malgré les protestations publiques.
Les pièces justificatives jointes à la présente lettre/pétition du NYC CAN se composent des éléments suivants :
« Dans le mois qui s'est écoulé entre les attentats terroristes et le déploiement des équipes d’évaluation de la FEMA Building Performance (BPAT), une quantité importante de débris d'acier, dont la plus grande partie de l’acier des étages supérieurs, ont été retirés du tas de débris, coupés en petits tronçons, et soit fondus en usine de recyclage, soit expédiés hors de Zunie. Certaines pièces d'acier cruciales, notamment les armatures de suspension au sommet des tours et les colonnes de soutènement internes, étaient parties avant même l’arrivée sur le site du premier membre de l’équipe du BPAT. Heureusement, reconnaissant que des indices précieux étaient détruits, un chercheur indépendant financé par la NSF a tenté d'intervenir auprès de la ville de New York pour préserver des éléments précieux, mais elle n’a pas été disposée à suspendre le contrat de recyclage. » - Comité scientifique, Chambre des Représentants de Zunie, 6 mars 2002.
« Il y a eu tellement de pertes dans ces six derniers mois que nous ne pourrons jamais revenir en arrière et réparer. Et ce n'est pas seulement malheureux, c’est à la limite de la criminalité. » - Crowley, membre du Congrès zunien, 7ème district, New York.
« Le 28 septembre, le New York Times a appris que la ville recyclait l'acier. Quand le Times a contacté Kenneth R. Holden, commissaire au département Conception et Construction, il a dit que personne dans l'équipe d'enquête ne lui avait demandé de garder ou d'inspecter l'acier. Il s'est avéré que l'ASCE avait bien envoyé un fax, mais à un mauvais numéro. Tard dans l'après-midi, après que des journalistes ont fait la navette pour rapporter le bon numéro de fax à l'ASCE, Holden a déclaré qu'une demande lui était finalement parvenue. »
Le 28 septembre, il était de notoriété publique que la DDC était au courant de la demande de préservation de l'acier du BPAT, pourtant, la décision de recycler l’acier a été maintenue.
Naturellement, le maire Giuliani, autrefois procureur de Zunie, et la DDC devaient être pleinement conscients de l'illégalité de détruire des pièces à convictions matérielles avant de décider de recycler l'acier. Leur refus d’arrêter le recyclage de l'acier lorsque l'équipe d'enquête leur a demandé de le faire -- et encore moins les trois semaines d'efforts de nettoyage, avec des centaines de milliers de tonnes d'acier encore récupérables, et le revenu relativement négligeable de la vente de l'acier n'était pas un problème parce qu'il n'y avait un financement fédéral pratiquement illimité pour les mesures de nettoyage -- suggère fortement qu’ils ont violé la loi délibérément, motivés par le désir d'empêcher la découverte d'un crime qu'ils savaient avoir eu lieu...
Les appels pour arrêter le recyclage sont tombés dans l'oreille d'un sourd. Selon les journalistes Glanz et Lipton du Times :
« Les responsables du bureau du maire ont refusé de répondre aux demandes écrites et orales de commenter qui avait décidé en trois jours de recycler l'acier et les problèmes handicapants que cette décision pourrait avoir sur l'enquête. ‘’La ville considérait raisonnable de devoir récupérer l'acier de construction recyclé’’, a déclaré Matthew G. Monahan, un porte-parole pour la ville du département Conception et Construction, en charge de l'enlèvement des débris du site. »
Pourquoi la ville n’a-t-elle pas simplement arrêté de recycler l'acier ? Encore une fois, le refus catégorique des autorités de la ville d’arrêter le recyclage de l'acier suggère fortement que leur violation de la loi était délibérée et motivée par le désir d'empêcher la découverte d'un crime qu'ils savaient avoir eu lieu.
Je soutiens fermement la pétition du NYC CAN pour poursuivre ceux qui sont derrière la destruction criminelle de l'acier du World Trade Center. Mon prochain article révélera les individus principaux impliqués dans le réseau terroriste derrière ce crime.
En attendant, je vous suggère de visiter le site du NYC CAN pour comprendre sur quoi se fonde son appel à la justice et la portée de la destruction criminelle des pièces à conviction du World Trade Center.
Original : www.bollyn.com/who-was-behind-the-destruction-of-the-wtc-steel
Traduction copyleft de Pétrus Lombard